De plus en plus d’entreprises du bâtiment s’engagent dans des démarches d’organisation interne respectueuses de l’environnement. Faciliter et mieux valoriser ces initiatives permettrait de les démultiplier.
Les efforts consentis par les entreprises et artisans ayant mis en place des démarches environnementales méritent d’être reconnus. Des avantages permettraient non seulement de valoriser ces entreprises mais aussi d’en inciter d’autres à s’engager.
Malgré la prise en compte de critères environnementaux dans les marchés publics et privés, force est de constater qu’aujourd’hui, les efforts engagés par bon nombre d’entreprises du bâtiment pour être exemplaires et proposer des services écoresponsables ne sont pas reconnus. La maîtrise d’ouvrage privilégie dans 90% des cas le « moins-disant » dans une logique économique.
Les donneurs d’ordre doivent faire émerger les démarches exemplaires, en prenant mieux en compte les questions environnementales et de développement durable dans la définition des objectifs des marchés, notamment dans le cadre des achats publics.
Plusieurs actions pourraient être mises en place, dans une logique incitative :
@ cookiecutter | Fotolia
- Attribuer un pourcentage substantiel aux critères environnementaux dans les marchés publics (ce critère n’a pas de poids significatif à l’heure actuelle) ;
- Permettre à une entreprise engagée dans ce type de démarche de répondre aux exigences environnementales des marchés publics selon des modalités simplifiées.
Il s’agit d’un moyen de récompenser concrètement les artisans et entrepreneurs qui s’engagent et de motiver ceux qui hésitent.
Modèle axé sur une absence de gaspillage et une augmentation de l’intensité de l’utilisation des ressources tout en diminuant les impacts environnementaux. On parle couramment des trois « R » qui résument les principes de l’économie circulaire : Réduire la consommation des ressources, Réutiliser et Recycler les matières et les produits.
Matériau issu de la biomasse d’origine animale ou végétale. Dans le bâtiment, les matériaux biosourcés les plus utilisés sont le bois, la paille, la chènevotte (chanvre), la ouate de cellulose, le liège, le lin et la laine de mouton. On parle parfois aussi de biomatériaux ou d’agro-ressources.
Modèle axé sur une absence de gaspillage et une augmentation de l’intensité de l’utilisation des ressources tout en diminuant les impacts environnementaux. On parle couramment des trois « R » qui résument les principes de l’économie circulaire : Réduire la consommation des ressources, Réutiliser et Recycler les matières et les produits.
Matériau issu de la biomasse d’origine animale ou végétale. Dans le bâtiment, les matériaux biosourcés les plus utilisés sont le bois, la paille, la chènevotte (chanvre), la ouate de cellulose, le liège, le lin et la laine de mouton. On parle parfois aussi de biomatériaux ou d’agro-ressources.
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